Test de Dead Space : Ignition

Dead Space : Ignition

 

 

Dead Space : ignition est un prequel de Dead Space 2, le jeu nous raconte donc les débuts de l’invasion de la station Méduse par les Nécromorphes juste après les évènements du deuxième film d’animation. On y suit deux personnages : Franco, un ingénieur, et Sarah, une militaire, à travers 4 actes aussi courts les uns que les autres. Chaque acte est construit sur le même schéma : des cinématiques, des puzzles et un choix de parcours.

Les cinématiques se présentent sous forme de bande dessinée semi-animé d’une qualité assez douteuse et régulièrement, au cours de l'intrigue, Franco va devoir mettre en œuvre ces compétences pour ouvrir une porte ou hacker un mécanisme. A ce moment-là, le jeu vous lancera sur un puzzle, une fois résolu, le scénario pourra reprendre avec une nouvelle cinématique. A la fin de l'acte 1 et 2 vous pourrez choisir les lieux de la station que vous voudrez visiter, mais cela n’impactera pas le dénouement du dernier acte.

   

  

Penchons-nous un peu sur ces puzzles qui prennent la forme de mini-jeu ni intéressant, ni amusant. Ils sont au nombre de trois et leur difficulté varie au fur et à mesure de votre progression. Le premier consiste à manier une petite boule d’énergie à travers un décor truffé d’obstacle, votre but est d’atteindre la fin du parcours avant les autres boules à votre poursuite. Le deuxième consiste à envoyer des sortes d’unités hackeuse pour traverser une zone informatique que vous aurez au préalable dégagé. Le troisième consiste à relier des rayons laser de différentes couleurs à leurs réceptacles.

Si faire un spin-off de Dead Space centré sur le scénario et la réflexion ou les réflexes du joueur pouvait être une idée originale, force est de constater que cet opus est mortellement ennuyant, voir frustrant en ce qui concerne le premier mini-jeu. Le pire c’est que si le gameplay est navrant, l’histoire n’est même pas particulièrement intéressante…


Description du jeu par Kyoledemon